Poème de l’amour – Anna de Brancovan, comtesse de Noailles

Moi seule je connais ta langoureuse allure, Tous les autres regards peuvent bien s’y tromper. Mais j’ai surpris (ô juin, par l’orage estompé !) Comme un cristal où git l’invisible fêlure, Ton rire épanoui, d’angoisse entrecoupé… Poème de l’amourPoèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles