Aucun jour je ne me suis dit
Que tu pouvais être mortel.
Tu ressembles au paradis,
À tout ce qu’on croit éternel !
– Mais, ce soir, j’ai senti, dans l’air
Humide d’un parc triste et blême,
La terreuse odeur des asters
Et du languissant chrysanthème…
Quoi ! tu peux mourir ! – et je t’aime !
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles
Une réponse à “Poème de l’amour – Anna de Brancovan, comtesse de Noailles”
Sherwood Park Renovations
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